Créer sa base de radars (étape 3) : modifier les fichiers nécessaires

moyen.gif NIVEAU MOYEN 

Seule la base de données à un intérêt réel dans sa modification. Il faut s’assurer quelle est au bon format pour qu’une fois envoyée au NUVI tout de passe correctement.

Cette modification peut s’avérer nécessaire pour 3 raisons majeures :

  • la base de données n’est pas au format CSV reconnu par Garmin ;
  • la base de données possède des doublons car elle a été créée à partir de bases de données multiples ;
  • la base de données n’est pas ventilée par vitesse.

  

fleche2.gif La base de données n’est pas au format CSV

Vous avez récupéré la base de données de radars de votre voisin qui possède un TomTom, mais elle n’est pas exploitable en l’état sur votre NUVI. 

Ce n’est pas bien grave ! Utilisez POI Edit, et effectuez une conversion, c’est très simple et très rapide. Cet article vous explique comment faire.

NB : si vos fichiers sont au format CSV, assurez vous via POI Edit qu’il s’agit bien du format CSV reconnu par Garmin.

 

fleche2.gif La base de données possède des doublons

Cette situation est somme toute assez fréquente lorsque l’on compile plusieurs bases. Elle survient également lorsque vous avez deux radars sur une voie (un pour un sens et un autre dans l’autre sens) distancés d’à peine quelques dizaines de mètres. Comme vous le savez sans doute déjà, seules les bases de données Cyclops gèrent le sens des radars. Il est donc inutile de garder en mémoire des radars proches d’environ 100 mètres les uns des autres, sinon à faire hurler en permanence votre GPS !

Encore une fois POI Edit va nous permettre de nous sortir de cette situation : l‘option de recherche de doublons permet de supprimer les POIs trop proches les uns des autres.

  

fleche2.gif La base de données n’est pas ventilée par vitesse

eclatcsv.jpg

Et c’est bien dommage ! Il va pourtant falloir la ventiler ou alors vous contenter du même message pour tous vos radars  » Attention radar en vue ! « .

La ventilation est l’opération la plus délicate, la plus longue et la plus périlleuse. C’est pour cela que les bases de données disponibles sur le web sont le plus souvent gratuites quand elles sont non ventilées et payantes une fois éclatées par vitesse.

Vous avez à votre disposition une batterie d’outils vous permettant de réaliser cette ventilation (Excel, CSV2ASC Splitter, etc…). Ces programmes et macros diverses s’appuient sur les informations mentionnées dans le libellé du radar (exemple :  »radar25@110″ signifie que le radar 25 flashe au delà de 110 km/h). Ce libellé est indispensable au NUVI car il l’utilise lors de l’annonce visuelle sur l’écran.

Une fois la ventilation faites, assurez vous que les fichiers sont bien au format CSV, sinon utilisez à nouveau POI Edit.

Si la ventilation s’est correctement passée, vous devriez être passé d’un seul fichier à autant de fichier qu’il existe e vitesse : a priori 20, 30, 40; 50, 60, 70, 80, 90, 100, 110, 120 et 130, soit au moins 12 fichiers différents.

NB : préférez des noms de fichiers simple contenant la vitesse limite (exemple RF-050 pour les radars fixes se déclenchant à 50 km/h).

NB : certains de ces fichiers sont vides, si aucun radar n’est renseigné, par exemple, pour une vitesse de 20

NB : la ventilsation par vitesse se fait sur la base des informations contenues dans le fichiers. Les radars britanniques sont donc sur une base de 80 mph et non pas 80 kmh !

    

Maintenant que vos bases de données sont prêtes, on peut envisager de les transférer vers le NUVI…

     

Créer sa base de radars en 4 étapes :

 

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